Articles avec le mot clé : stérilité
L’A.D.E.D.D. et la question de l’anonymat des dons de gamètes et d’embryons
Posté le : 15 Feb 2011
Les lois dites « de bioéthique » de 1994 fondent le droit français de la bioéthique. Parmi elles, celle du 29 juillet n°94-654 règlemente l’assistance médicale à la procréation (AMP). Le don de gamètes et celui d’embryons sont régis par trois grands principes : volontariat, gratuité et anonymat. Ces principes ont été confirmés par la révision législative de 2004 et celui de l’anonymat fait à la veille de la seconde révision de la loi, l’objet d’une attention particulière. L’A.D.E.D.D. a fait le choix, dès sa création en avril 2008, de ne pas se positionner sur la question de l’anonymat. Pourquoi un tel choix a-t-il été opéré ?
Question n°2 : Quel devenir pour les embryons « surnuméraires » ?
Posté le : 20 Nov 2010
L’ADEDD a souhaité traiter cette question après les appels de certains parents ayant eu recours à une fécondation in vitro (FIV) avec production d’embryons « surnuméraires »* et ne souhaitant plus avoir d’autres enfants. Leur principale inquiétude était le bien-être des enfants qui seraient issus d’un éventuel don de leurs embryons. On dispose actuellement d’encore peu de recul concernant le vécu des enfants conçus grâce à cette démarche.
Question n°1 : L’annonce du mode de conception à l’enfant
Posté le : 18 Mar 2010
Beaucoup de parents se demandent comment leur enfant pourrait réagir s’ils devaient un jour révéler le mode conception. La réaction supposée et imaginée de leur enfant par le père, la mère ou même les deux, conditionne parfois le choix de lever ou non le secret. Pour ceux qui souhaitent dire la vérité à l’enfant, la difficulté est souvent de savoir à quel moment et quels mots ou expressions employer. Lire la suite
Les lois dites « de bioéthique » de 1994 fondent le droit français de la bioéthique. Parmi elles, celle du 29 juillet n°94-654 règlemente l’assistance médicale à la procréation (AMP). Le don de gamètes et celui d’embryons sont régis par trois grands principes : volontariat, gratuité et anonymat. Ces principes ont été confirmés par la révision législative de 2004 et celui de l’anonymat fait à la veille de la seconde révision de la loi, l’objet d’une attention particulière. L’A.D.E.D.D. a fait le choix, dès sa création en avril 2008, de ne pas se positionner sur la question de l’anonymat. Pourquoi un tel choix a-t-il été opéré ?
L’ADEDD a souhaité traiter cette question après les appels de certains parents ayant eu recours à une fécondation in vitro (FIV) avec production d’embryons « surnuméraires »* et ne souhaitant plus avoir d’autres enfants. Leur principale inquiétude était le bien-être des enfants qui seraient issus d’un éventuel don de leurs embryons. On dispose actuellement d’encore peu de recul concernant le vécu des enfants conçus grâce à cette démarche.
Beaucoup de parents se demandent comment leur enfant pourrait réagir s’ils devaient un jour révéler le mode conception. La réaction supposée et imaginée de leur enfant par le père, la mère ou même les deux, conditionne parfois le choix de lever ou non le secret. Pour ceux qui souhaitent dire la vérité à l’enfant, la difficulté est souvent de savoir à quel moment et quels mots ou expressions employer. Lire la suite