Articles avec le mot clé : don
Réunion d’information sur le don d’ovocytes
Posté le : 08 Jan 2013
Le deuil de la fertilité dans l’insémination avec sperme de donneur (IAD)
Posté le : 27 Nov 2012
Article de J.-C. Mazzone, psychiatre, publié dans la revue Andrologie. La pratique de l’IAD suscite paradoxalement chez l’homme stérile un blocage du deuil de sa fertilité. La mise en secret de la conception de l’enfant en est le symptôme. L’aide psychologique nécessaire à l’élaboration du deuil permettra la levée de ce secret, mais cela n’est pas suffisant pour l’accès de cet homme à la paternité. Il devra, en se reconnaissant actif et concepteur de son enfant, s’affronter à l’homosexualité latente inhérente à la pratique de l’IAD. Le travail de deuil mené à son terme verra l’homme stérile devenir un père authentique et serein. Lire l’article.
L’A.D.E.D.D. et la question de l’anonymat des dons de gamètes et d’embryons
Posté le : 15 Feb 2011
Les lois dites « de bioéthique » de 1994 fondent le droit français de la bioéthique. Parmi elles, celle du 29 juillet n°94-654 règlemente l’assistance médicale à la procréation (AMP). Le don de gamètes et celui d’embryons sont régis par trois grands principes : volontariat, gratuité et anonymat. Ces principes ont été confirmés par la révision législative de 2004 et celui de l’anonymat fait à la veille de la seconde révision de la loi, l’objet d’une attention particulière. L’A.D.E.D.D. a fait le choix, dès sa création en avril 2008, de ne pas se positionner sur la question de l’anonymat. Pourquoi un tel choix a-t-il été opéré ?
Intervention de l’A.D.E.D.D. à la Commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi relatif à la bioéthique.
Posté le : 06 Jan 2011
Mercredi 15 décembre 2010, Anne-Catherine Le Roux (membre de l’A.D.E.D.D.) et Christophe Masle (président de l’A.D.E.D.D.) se sont rendus à la Commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi relatif à la bioéthique. Ci-dessous, le contenu de leur intervention.
Question n°2 : Quel devenir pour les embryons « surnuméraires » ?
Posté le : 20 Nov 2010
L’ADEDD a souhaité traiter cette question après les appels de certains parents ayant eu recours à une fécondation in vitro (FIV) avec production d’embryons « surnuméraires »* et ne souhaitant plus avoir d’autres enfants. Leur principale inquiétude était le bien-être des enfants qui seraient issus d’un éventuel don de leurs embryons. On dispose actuellement d’encore peu de recul concernant le vécu des enfants conçus grâce à cette démarche.
Article de J.-C. Mazzone, psychiatre, publié dans la revue Andrologie. La pratique de l’IAD suscite paradoxalement chez l’homme stérile un blocage du deuil de sa fertilité. La mise en secret de la conception de l’enfant en est le symptôme. L’aide psychologique nécessaire à l’élaboration du deuil permettra la levée de ce secret, mais cela n’est pas suffisant pour l’accès de cet homme à la paternité. Il devra, en se reconnaissant actif et concepteur de son enfant, s’affronter à l’homosexualité latente inhérente à la pratique de l’IAD. Le travail de deuil mené à son terme verra l’homme stérile devenir un père authentique et serein. Lire l’article.
Les lois dites « de bioéthique » de 1994 fondent le droit français de la bioéthique. Parmi elles, celle du 29 juillet n°94-654 règlemente l’assistance médicale à la procréation (AMP). Le don de gamètes et celui d’embryons sont régis par trois grands principes : volontariat, gratuité et anonymat. Ces principes ont été confirmés par la révision législative de 2004 et celui de l’anonymat fait à la veille de la seconde révision de la loi, l’objet d’une attention particulière. L’A.D.E.D.D. a fait le choix, dès sa création en avril 2008, de ne pas se positionner sur la question de l’anonymat. Pourquoi un tel choix a-t-il été opéré ?
Mercredi 15 décembre 2010, Anne-Catherine Le Roux (membre de l’A.D.E.D.D.) et Christophe Masle (président de l’A.D.E.D.D.) se sont rendus à la Commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi relatif à la bioéthique. Ci-dessous, le contenu de leur intervention.
L’ADEDD a souhaité traiter cette question après les appels de certains parents ayant eu recours à une fécondation in vitro (FIV) avec production d’embryons « surnuméraires »* et ne souhaitant plus avoir d’autres enfants. Leur principale inquiétude était le bien-être des enfants qui seraient issus d’un éventuel don de leurs embryons. On dispose actuellement d’encore peu de recul concernant le vécu des enfants conçus grâce à cette démarche.